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Selon une enquête Fellowes/CSA de septembre 2013, la criminalité identitaire est en hausse sur ces dernières années, et ce malgré la présence sur le marché de technologies toujoursplus efficaces et moins coûteuses pour s'en protéger.
Ainsi, en 2013, 8% des Français déclarent avoir été victimes d'usurpation d'identité au moins une fois sur les 10 dernières années. En 2012, ils étaient autant, alors qu'en 2009, seulement 4%.
Le constat est alarmant : plus d'un Français sur 7, soient 8 millions, déclarent avoir laissé par inadvertance des informations confidentielles à un endroit inaproprié. Pourtant, 68% des Français considèrent que le risque d'être victime d'une usurpation d'identité est élevé, alors qu'ils étaient 63% en août 2012.
La majeure partie des documents personnels abandonnés ou laissés sans sécurité le sont au domicile pour 36%, suivi par l'abandon dans une photocopieuse, un scanner ou une imprimante pour près de 30%.
30% concernent des oublis sur le lieu de travail ou en salle de réunion, alors que 7% concernent des oublis dans les transports en commun, avec autant dans des cafés et restaurants. Ce qui multiplie les risques d'usurpation d'identité par une personne connue ou inconnue.
21% des Français ont pu découvrir sur leur lieu de travail des documents confidentiels sur leurs collègues ou leur supérieur, laissés sur un bureau, dans la photocopieuse... Parmi les informations trouvées, on retrouve le salaire des collègues pour 30%, suivies d'autres informations personnelles pour 26%.
Des trouvailles fortuites qui, en plus de proovoquer les risques d'usurpation que l'on connaît, peut engendrer bien d'autres désagréments sur la vie au travail.
A la question "Existe-t-il sur votre lieu de travail des consignes de sécurité pour assurer la confidentialité de certains documents comme par exemple l'obligation de les détruire ?", plus de la moitié des personnes interrogées ont répondu Non. Alors qu'aux États-Unis, le réflexe de la destruction des documents est désormais assez bien acquis tant dans la vie professionnelle que privée, la France est à la traîne car, bien consciente du danger de l'appropriation de documents personnels par des personnes malintentionnées, la majeure partie de sa population semble ne pas prendre de mesures pour s'en protéger.
Pourtant, de nombreux types de destructeurs de documents existent, adaptés à tous les usages et budgets. Nous vous proposons cu-dessous un petit tour d'horizon de ces petits appareils qui peuvent vous éviter bien des ennuis.
Si l'usage des déchiqueteuses de documents était autrefois utilisé pour la destruction de documents papier, il existe aujourd'hui de nombreux modèles qui permettent la destruction d'autres supports tels que des CD, des DVD, des disques durs, clés UBS, cartes bancaires et bien d'autres. Il existe aussi des destructeurs multifonction qui permettent de détruire plusieurs types de supports grâce à des bacs de réception de déchets séparés pour faciliter le recyclage.
Le niveau de sécurité de destruction d'un destructeur s'évalue par rapport à la taille des particules des déchets générés par la destruction : plus les déchets d'un document sont petits et nombreux, et plus il est difficile, voire impossible, de le reconstituer. A l'inverse, moins les particules sont petites et complexes, et plus les possibilités de le réassembler et d'en lire le contenu seront élevées.
Ainsi, pour vous assurer un minimum de protection, nous vous recommandons plutôt l'usage d'un destructeur à coupe croisée qu'à coupe droite, qui générera des déchets en particules et non en bandes de papier.
Pour faciliter le choix de la machine en fonction du niveau de sécurité requis, il existe des normes classifiant les différents niveaux de destruction. L'arrivée de nouveaux supports numériques et optimes ces dernières décennies est à l'origine de l'arrivée d'une nouvelle norme, la DIN 66399, qui prend davantage en compte la typologie du support pour établir des niveaux de destruction.
La norme DIN 66399 considère six types de supports qui sont :
Elle établit pour chacun sept niveaux de sécurité en fonction de la taille des particules générées :
P - Supports papier | O - Supports optiques | F - Microfilms | T - Bandes magnétiques | E - Supports électroniques | H - Disques durs | ||||||
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P-1 | O-1 | F-1 | T-1 | E-1 | H-1 | ||||||
P-2 | O-2 | F-2 | T-2 | E-2 | H-2 | ||||||
P-3 | O-3 | F-3 | T-3 | E-3 | H-3 | ||||||
P-4 | O-4 | F-4 | T-4 | E-4 | H-4 | ||||||
P-5 | O-5 | F-5 | T-5 | E-5 | H-5 | ||||||
P-6 | O-6 | F-6 | T-6 | E-6 | H-6 | ||||||
P-7 | O-7 | F-7 | T-7 | E-7 | H-7 |
Des classes de sécurité sont également définies ; elles retroupent chacune plusieurs niveaux de sécurité conseillés en fonction du caractère de sensibilité des documents à détruire :
Protection de classe 1 |
Protection normale pour des documents contenant des données internes normalement accessibles par tout employé et dont la divulgation à l'extérieur est peu critique. Notes, catalogues, prospectus... Niveaux 1, 2, 3 |
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Protection de classe 2 |
Haute protection pour les documents contenant des données confidentielles, accessibles à un nombre restreint d'employés, et dont la divulgation à l'extérieur peut avoir des effets néfastes. Fichiers clients ou employés, études de marchés... Niveaux 3, 5, 4 |
|
Protection de classe 3 |
Très haute protection pour les documents contenant des données secrètes à un très petit nombre de personnes (directions...) et dont la divulgation pourrait avoir des conséquences graves pour l'entreprise. Études, projets de brevets, données stratégiques ou financières,... Niveaux 4, 5, 6, 7 |
Les fabricants de destructeurs de documents rivalisent d'ingéniosité pour vous faciliter la tâche au quotidien : fonctionnalités anti-bourrage avec possibilité de marche arrière pour évacuer l'obstacle, corbeilles extratibles avec témoin lumineux indiquant quant vous devez la vider...
L'innovation principale de 2013 est l'arrivée sur le marché de destructeurs partagés avec bac d'alimentation automatique. Si vous utilisez fréquemment un destructeur commun, il vous est sans doute déjà arrivé de passer un temps long devant cet appareil pour passer les liasses de documents les unes après les autres. Cette époque est désormais révolue : les destructeurs automatiques disposent d'un tiroir dans lequel vous placez vos documents à détruire. Vous verrouillez ensuite le tiroir par un code unique, de façon à ce que personne ne consulte les documents en cours de destruction à part vous-même. Vous pouvea ensuite laisser travailler le destructeur seul tandis que vous pouvez vous atteler à des tâches plus importantes... ou boire un café.
Source : Les Français et les papiers confidentiels au bureau ou en privé en 2013,
étude Fellowes/CSA, septembre 2013
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